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3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 09:12

Parc-Borely-007.jpg

Il y avait donc des auteurs et des vélos, hier au Parc Borely !

(de gauche à droite : Martine Robustelli - Nicole Delor - Jeannine Anziani - Simone Luisetti)

 

Et... la cohabitation s'est passée au mieux entre les vélocyclistes et les écrivaines.

Cyclotouristes seulement surpris de trouver là des livres et leurs auteures ! Comme quoi... toutes sortes de combinaisons sont possibles question partage de l'espace !

Nous,  alala... sous un soleil magnifique et sous l'ombre protectrice des tentes installées devant la majestueuse façade du Château, nous ne pouvions prétendre à mieux côté environnement.

 

Parc-Borely-013.jpg

 Maintenant, vu que personne n'est parfait, c'est-à-dire pas marseillais (sic !), il est nécessaire de donner quelques indications sur ce château et ce parc.

 

Le Château ?  Une des plus gracieuses  "bastides" marseillaises à la grâce du XVIII ème siècle. Edifiée en 1766 par un riche négociant : Louis Borély qui avait fait fortune à Alexandrie, la bastide a été conçue par l'architecte Esprit Brun (à qui l'on doit également la plupart des immeubles de la Canebière).

Au début du XIX ème siècle, le Château Borely devint la propriété du marquis de Panisse-Passis qui avait épousé la petite-fille de Louis Borély. Le domaine passa ensuite dans les mains de Paulin Talabot, directeur des chemins de fer de Lyon à la Méditerranée et organisateur de la compagnie des Docks.

Mais en 1856 ce dernier maître céda le Château à la ville de Marseille en échange du jardin des Plantes (quartier des Chartreux), pour permettre le passage de la voie ferrée Marseille-Toulon !

Devenue propirétaire du Château, la Ville le transforme en musée d'archéologie. C'est elle qui fit édifier la fontaine du bassins situé au pied de la terrasse.

Parc-Borely-009.jpg

 Le Château Borely a été classé monument historique.

Actuellement le Château est fermé pour rénovation. La réouverture, prévue pour Marseille capitale européenne de la Culture 2013 va en faire un musée des Arts décoratifs, de la faïence et de la mode.

 

(Sources : L'Evocation du Vieux Marseille- André Bouyala d'Arnaud)

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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 07:34

 

Hier donc, avec quelques écrivaines de Marseille Journées du patrimoine : 17 et 18 septembre 2011 avec des auteurs marseillais nous nous sommes retrouvées à Château-Gombert.

Pour ceux qui ne savent pas où se trouve le village (XIII ème arrondissement de la cité), il se situe... comment expliquer ? Aux dires de ces habitants eux-même, par rapport au centre ville, Château-Gombert ? C'est au cul du loup !!!

C'est-à-dire que le village est quasiment... à la campagne. Avec tout le charme que cela comporte.

 

Chateau-Gombert-2011-001.jpg

 

Le musée du terroir marseillais - 5 place des héros - a été crée en 1928 par Jean-Baptiste Julien-Pignol pour présenter les arts et traditions populaires sur plus de 1000 m2 : mobilier, costumes, faïences, instruments de musique...

Initialement prévu pour une installation en plein air, dans la cour du musée, le ciel gris nous a obligé à transporter tables, chaises et livres à l'intérieur d'une salle d'exposition.

 

Chateau-Gombert-2011-008.jpg

 

Et ce musée, empli de tendresse et dégageant comme une sorte de nostalgie recèle encore des trésors innatendus dans la salle de son restaurant (fermé hier).

 

Chateau-Gombert-2011-007.jpg

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25 juillet 2011 1 25 /07 /juillet /2011 12:11

 

Le-petit-port--l-Escalette--012.jpg

 

Juste au-dessus  du petit port, à l'Escalette "Le petit port" de l'Escalette , les ruines de l'ancienne usine de plomb se délavent sous le soleil.

J'étais petite-fille que, déjà, je voyais leurs pierres dégringoler la colline...

Cette usine, la rumeur disait que c'était une usine de soude ; en fait c'était de plomb dont il s'agissait.

Mais enfin, plomb ou soude, les conditions de travail étaient à peu près les mêmes. 

Remontons un peu le temps, jusqu'en 1810, date du démarrage de la plupart de ces sites industrieux sur Marseille. Imaginez des hommes travaillant dans des conditions infernales, une cheminée crachant des fumées nauséabondes détruisant la végétation alentour, interdisant tout habitat à proximité...

D'ailleurs, encore aujourd'hui, le site est toujours pollué  par d'énormes quantités de plomb et d'arsenic.

 

Maintenant, je vais profiter de cet article pour vous parler du savon, le fameux "savon de Marseille" Le savon de Marseille , qui, s'il n'était pas fabriqué à l'Escalette, l'était non loin de là, dans le quartier qui se nomme toujours "La Soude".

Donc, pour fabriquer du savon, on utilise un corps gras (huile d'olive - de palme - etc...) et un élément basique : la soude.

Dans les premiers temps, les savonniers employaient la soude naturelle, appelée natron, en provenance de certains lacs salés. Ils se servaient également de soude d'origine végétale obtenue par la calcination de végétaux du littoral. Après lessivage de la cendre et évaporation, le produit obtenu devait un bloc que l'on brisait en morceaux.

Lors de l'invasion de l'Espagne par les armées napoléoniennes en 1810, les soudes naturelles cessèrent d'être importées à Marseille.

Pour remplacer les produits naturels, les savonniers marseillais usèrent d'un moyen nouveau mis au point par un certain Nicolas Leblanc. En décomposant du sel marin avec de l'acide sulfurique, ce dernier a réussi à produire du carbonate de soude. Une soude dite factice indispensable à la saponification des corps gras. Cet acide est lui-même obtenu en faisant brûler un mélange de soufre et de salpêtre dans des fours spéciaux adossés à des chambres de plomb où s'opère la condensation des gaz.

 Le-petit-port--l-Escalette--014.jpg

   

Au début, les petits savonniers marseillais avaient commencé la production de cette soude factice à l'intérieur de la ville.

Mais cette activité extrêmement polluante avait des conséquences graves pour les habitants. Des plaintes furent déposées... Pour remédier au fait, le Préfet décida le 15 octobre 1810 de déplacer les petites unités vers des lieux déserts.

Outre une zone totalement inhabitée et dépourvue de cultures, cette production chimique nécessitait la proximité de la forêt, pour le bois de chauffe, et de la mer pour recevoir une grande partie des rejets ainsi que pour le transport du sel.

 

A Marseille, la calanque de Callelongue, de la Redonne répondaient à ces critères. Ces usines ont fonctionné jusque dans les années 1860.

 

- D'après l'annexe 3 "De l'Estaque à Pounent" de Gérard Chevé

   

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24 juillet 2011 7 24 /07 /juillet /2011 12:55

 

Cet été, mes vacances jouent à saute-vagues entre mon cabanon flottant sur l'eau tranquille de Ma calanque (voir rubrique La Calanque) et ma non moins calme ruelle de Marseille.

Je sais, j'ai de la chance ! Enfin... au moins celle-là !

Hier, L'Homme qui partage mon existence depuis plus de 40 ans (Seigneur !!! il est grand temps d'en changer non ?) fêtait son anniversaire.

Comme cadeau ? Un repas intime dans un endroit caractéristique de cette ambiance n'appartenant qu'à la cité phocéenne. A savoir au "Petit port", un restaurant-pizzeria renommé et assez chicos de l'Escalette, lieu-dit situé sur la route des Goudes.

 

Le-petit-port--l-Escalette--004.jpg

 

Les Goudes, le bout du bout de Marseille, vous savez bien, chaque fois qu'un film est tourné à Marseille, au moins une scène se passe sur la terrasse d'un de ses cabanons ! 

Quant à L'Escalette, le site se trouve juste avant le village des Goudes. Le restaurant  perché au-dessus du petit port, lui, porte bien son nom : regardez la photo. Ce petit port emmuré ne peut abriter que quelques barques, et encore, seulement en été !

Quoique, même en juillet, les jours de fort mistral, comme hier, le chenal d'accès est-il difficile d'accès.

 

Le-petit-port--l-Escalette--005.jpg

 

Enfin, si vous passez par Marseille, évidemment, je vous conseille la ballade de la route des Goudes, avec la vue imprenable, d'un coté sur l'île Maïre et son tiboulen, de l'autre sur un paysage "minéral" comme disent les journalistes...

 

Le petit port (l'Escalette) 017

 

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 10:56

 

La Rouvière à Marseille, c'est une immense copropriété où vivent trois mille personnes, construite sur un terrain de 13 hectares dans les années soixante au nord des anciennes carrières du quartier du Redon.

Des habitations en discontinu sur une pente forte (50 %). La réalisation s'est effectuée en quatre tranches successives qui se sont terminées en 1971.

Le plan d'urbanisme est centré sur une tour et un centre commercial ; au-dessus les immeubles s'étagent au milieu de grands espaces paysagés jusqu'à ce qui s'est appelé "Super-Rouvière".
(Raoul Guyot, architecte).

 

A-la-Rouviere-003.jpg

 

Il se passe à La Rouvière le même phénomène qu'au Corbusier, les enfants ayant grandi sur place, devenus adultes, s'installent à leur tour dans la copropriété...

Il y a également à la Rouvière une association très active : l'USCRM (Union sportive et culturelle de la Rouvière Marseille).

C'est à l'initiative de celle-ci, du patron de la Maison de la Presse et d'un poète habitant du lieu : Roland Boucabelle que s'est tenu ce samedi 25 juin au matin un mini-salon du livre.

Une fois encore l'occasion de retrouver les copines-écrivains-marseillaises !

Nadine Zafran était là avec son commissaire... www.commissaire-mira.fr

et A-la-Rouviere-001.jpgMartine Robustelli avec ses nouvelles et son essai : http://motspournosmaux.canalblog.com

 

Ma foi, est passé en trois heures devant la Maison de la Presse plus de gens (donc plus de clients) qu'en trois jours sur La Canebière Sur la Canebière  !!!  

Cherchez l'erreur...   

 

     

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 08:50

 3690423374_5b923a095a.jpg

 

Le savon de Marseille ? Une légende ! Mais les savonneries... l'époque où elles prospéraient ici s'est enfuie... .

Les savons sont à présent fabriquées, pas encore en Chine...mais ailleurs dans l'hexagone. Sauf que... il en reste une, crée en 1949, la savonnerie Le Sérail sise dans le quartier de Sainte-Marthe.

 

Et leur savon respecte scrupuleusement la tradition : les cubes de 300 ou de 600 grammes, issus de moules d'époque, sont tous estampillés d'un "extra pur 72 %", un pourcentage indiquant la teneur en acides gras, issus la plupart du temps d'huile d'olive .

La saponisation aujourd'hui encore se fait dans les chaudrons d'origine, d'une contenance de 8 tonnes. L'huile, chauffée auparavant à 100°, est mélangée à de la soude. Puis le mélange filtré et refiltré, va cuire pendant quatre heures à 110°.

L'étape suivante consiste en un lavage avec de l'eau et du gros sel. La mixture est ensuite coulée dans d'immenses bacs en pierre de 7000 litres dans lesquels elle va reposer pendant 48 heures.

 

Quand la pâte a entièrement durci - il paraît que le contrôle consiste à marcher dessus sans qu'elle ne se brise - elle est découpée à la machette en cubes de 40 à 50 kg.

Par la suite les morceaux sont passés à la découpeuse, une petite machine qui calibre grossièrement chaque cube de savon avant qu'ils ne soient taillés à la main.

Enfin, les cubes sont séchés à l'air libre. Le temps de séchage dépend alors... du vent, son fidèle allié, la pluie étant évidemment son pire ennemi !

Pour terminer, arrive le passage dans la mouleuse, qui imprime sur le savon la marque de la fabrique.

Le processus complet dure environ un mois.

 

Pour plus de détails, voire pour une commande : www.savon-leserail.com

Et si vous passez par Marseille, des visites de l'usine sont possibles en téléphonant au : 04 91 98 28 25.

 

 

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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 15:07

 

4122496766_4ce3ecf3ca.jpgC'est une immigration toute en douceur qui n'a pas fait parlé d'elle mais l'histoire méconnue est étonnante et mérite d'être racontée.

Déjà, un chiffre à savoir : 26 600 ressortissants helvètes sur Marseille et la région. Une représentation commencée en... 1799 !

A cette époque la Suisse figurait encore - difficile à croire de nos jours - parmi les pays les plus pauvres d'Europe. Ceci expliquant les dizaines de milliers d'helvètes, en grande majorité des femmes, ayant fui leur terre natale pour notre sud.

De fait, au début du XIXème siècle, la communauté suisse est la deuxième communauté étrangère de Marseille, juste derrière les italiens Et si pour changer, on parlait encore de... ma cité phocéenne ? .

"Dans les familles bourgeoises, les domestiques suisses faisaient figure de cartes de visite", analysait Renée Lopez-Thierry, dans une thèse fouillée, publiée en 1996 sur les helvétiques de Marseille.

Cependant, peu après cette première vague, une nouvelle, de bâtisseurs cette fois, débarquait et prospérait dans la cité.

Franz Mayor de Montricher laissera, pour sa part, rien de moins que la construction du canal de Marseille, qui amène encore aujourd'hui l'eau au centre de la ville.

Enfin, pour le fun... il faut savoir que la première équipe de football basée à Marseille et remportant un titre de champion de France en 1909, n'est pas l'OM, mais... Le Stade Helvétique, club fondé en 1904 par des immigrés suisses !

 

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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 12:41

 

Marseille-011.jpg"Marseille me fait penser à une très belle fille qui couche dès le premier soir et considère ensuite qu'elle n'a plus aucune obligation envers vous. Elle entretient quand même le désir en continuant à vous faire de l'oeil. Les sourires qu'elle vous adresse ne viennent pas du coeur, mais de son compteur. Piégé, dans l'attente d'une deuxième nuit qui ne viendra jamais,  vous continuez à penser qu'elle est la plus belle fille du monde. Elle n'espérait rien d'autre de vous. Inutile de compter sur elle. Tous les soirs elle se donne à un autre, dont elle attend des compliments, des flatteries." (Kranzler)

 

Kranler ? Je ne le connais qu'à travers son blog et ses écrits que je lis dès que j'arrive à m'accorder une parenthèse. J'aime bien. Plusieurs fois, il a parlé de Marseille et la façon dont il décrit la ville me plaît bien aussi. Sauf que... dans les lignes recopiées plus haut, il en donne une image magnifique mais... Marseille serait en définitive une garce !

Ne prenez pas ma réponse au premier degré hein ? Style, je suis vexée, fâchée, je n'admets pas que l'on touche à ma cité ! Non, c'est juste un jeu dans lequel je m'amuse à entrer et donc, à lui donner une autre réponse...

 

Je vous dire un secret... Marseille, en vrai... est une fée ! Qui n'aime rien tant que s'affubler d'habits de sorcière ! Qui s'éclate à prendre des poses, à se camoufler derrière des apparences.

Tantôt elle se déguise en très vieille femme de 2600 ans... tantôt elle se pare d'une mini-jupe en jean's et d'un top jaune pétant pour laisser voir son nombril tatoué de la Bonne Mère !

Certains jours, Marseille court trop vite, d'autres elle est à la traîne. Souvent elle joue, elle se cache, se réfugie dans des criques minérales ou dans des ruelles obscures.

D'autres fois, en plein Vieux Port, elle expose ses charmes afirmant sans vergogne :

- Je me donnerai à celui qui me trouvera, et elle part en courant...

Marseille est belle, Marseille est laide, selon le temps et ses humeurs.

Des fois elle pleure parce qu'un maudit parisien ne l'a pas comprise et s'est moqué d'elle :

- Quoi, c'est ça Marseille ?

Mais, l'autre matin, elle a recopié le sourire de La Joconde quand, sur la vedette en partance pour le Frioul, un Bruxellois d'au moins 2 mètres... s'est écrié sous le ciel outrageusement bleu et dans l'envol des gabians au-dessous de la mer qui frisait :

- Quelle lumière, cette ville est magique !

Marseille sait bien qu'elle n'est pas la plus belle, d'ailleurs elle s'en fiche éperdument ! Mais magique... oui, le belge a compris qu'elle est capable de vous ensorceler.

Mais ce que Marseille n'osera jamais vous avouer, c'est que, par-dessous tout, Marseille aime ceux qui l'aiment. Et à ceux-là, elle donne tout, pour toujours !

 

 

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 13:11

   

La-Madrague-de-Montredon-009.jpg

     

Mardi 8 février nuages dans le ciel mais température clémente.

Ne croyez pas que je viens de créer une rubrique météo ! Non, c'est juste pour vous décrire l'atmosphère de ma ballade d'hier en début d'après-midi, au bord d'une Méditerranée tranquille.  

  

    La-Madrague-de-Montredon-014.jpg

 

   Allez suivez-moi dans la promenade, au pied du massif de Marseilleveyre

et juste en face des îles du Frioul.

 

La-Madrague-de-Montredon-028.jpg

 

Voici une des raisons pour lesquelles j'aime tant cette ville.

A quelques minutes du centre, un petit port de pêche qui se prélasse, sans chichis.

 Oui, c'est Marseille.  

 

La-Madrague-de-Montredon-016.jpg

 

La-Madrague-de-Montredon-019.jpg

 

La-Madrague-de-Montredon-010.jpg

 

Au fait, vous pourrez constater dans la colonne adéquate (à droite) que je viens de créer une nouvelle catégorie justement nommée : A Marseille. Pour le moment cet article va y paraître bien seul ! 

Me reste à regrouper dans la dite rubrique d'autres déjà parus... Ensuite, vous vous doutez bien que la case ne cessera pas de prendre du volume !

 

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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 11:52

 

Dans le lointain la Méditerranée jouait les flaques paresseuses

 

divers-maison-et-environnement-091.jpg

 

Nous étions le samedi 16 octobre 2010 et un salon Culture et Ecritures se tenait de 9 h à19 h au Lycée Perrimond - chemin du Roucas Blanc à Marseille ; à deux pas de ma maison ! J'étais invitée avec les Contes de la Méditerranée et Du quotidien à voix haute.

 

Au-dessus du lycée une tour faisait le gué...

 

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Et encore au-dessus La Bonne Mère veillait...

 

divers-maison-et-environnement-094.jpg

 

Un salon du livre dans ses conditions, ma foi, ça n'est que du bon ! Sauf que l'après-midi... les manifestations ont probablement dissuadé pas mal de gens dans leurs intentions de sortir de chez eux (à part ceux qui allaient défiler...) et puis plus de bus, guère d'essence... et donc vers 17 heures... plus personne !

Aujourd'hui à Marseille le temps est gris... sale climat...

 

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