4 juin 2010
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Sur le terre-plein du chantier-naval des hommes s'agitent dans une atmosphère tout à fois fébrile et sereine, les éclaboussures des karchers et des effluves de peinture.
Les marins sont à l'aise, même si l'élément n'est pas mouvant ! On les devinent malgré problèmes d'hélice, de moteur, d'enrouleur ou autre, heureux. Le contact avec la mer reste présent et ils ne peuvent s'en passer, comme quand ils arpentent les quais en lorgnant, comparant les bateaux dans les senteurs de l'iode.
Je peux le dire, c'est une addiction ! Une fois qu'on y a goûté, c'est comme une drogue.