On dirait des tableaux n’est-ce pas ?
Et bien… ce sont des tapisseries, brodées point par point et ramenées d’Istanbul dans les années 1900.
J’ai pu les admirer hier dans un appartement marseillais, brève vision de parcelles d'origines communes.
Magnifiques et émouvantes.
Magnifiques par leurs coloris, les postures des personnages, la finesse du point.
Emouvantes parce que…
Istanbul me
fait rêver depuis tant d’années...
Pourquoi ?
Ah ! Pourquoi... je l'ai écrit... : "Un nom de ville" à la page 43 "Du quotidien à voix
haute".
Peut-être le rêve restera-t-il inaccompli...
Futur illusoire, chimère douce-amère
poursuivie tout au long d'une vie.