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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 12:38

 

Pour succéder aux dioramas de décembre 2009 Les boîtes à merveille , la mairie de Bagatelle propose cette année aux visiteurs (c'est gratuit) une nativité du 19 ème siècle.

Les santons mesurent 60 cm de haut et proviennent d'églises aubagnaises.

 

La-creche-037.jpg

 

Selon l'évangile de Saint Luc, Joseph accompagné de son épouse Marie, qui était sur le point d'accoucher, étaient parvenus à Bethléem afin de s'y faire recenser. N'ayant pas trouver de place à l'auberge,ils s'installèrent dans une étable, dans laquelle Jésus serait né.

Marie y placa son bébé dans une crèche (mangeoire à bestiaux).

La fête du Jour de la Nativité est appelée plus couramment Noël.

 

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13 décembre 2010 1 13 /12 /décembre /2010 13:25

 

Hier matin, traditionnelle promenade dans les bois en compagnie de Petit-Fils et de Petite-Fille pour ramasser la mousse.La-creche-015.jpg

La mousse qui servira de décor à la crèche et  sur laquelle viendront prendre place les santons.

Parmi les santons, trois Rois Mages que l'on fait avancer pas à pas chaque matin jusqu'à leur arrivée le 24 au soir devant l'étable.

 

Dans l'Evangile de Matthieu les Rois Mages, en fait les mages venus d'Orient apportent de riches présents à l'enfant Jésus : or, encens, myrrhe. Mais aucune mention qu'ils aient été au nombre de trois.

Le nombre de trois est supposé du fait que trois cadeaux ont été offerts.

La tradition nous a transmis les noms de La-creche-017.jpgMelchior, Balthazar et Gaspard  mais en Russie et en Finlande, on raconte que le Père Noël serait le quatrième Roi Mage. Trop au nord de la planète pour voir l'étoile du Berger, il n'aurait jamais atteint Bethléem et il aurait fini par offrir ses cadeaux aux enfants.

 

L'écrivain français Michel Tournier dans son roman Gaspard, Melchior et Balthazar paru en 1980 donne une version plus iconoclaste de l'histoire d'un quatrième roi mage : Taor, prince de Mangalore. Parti du sud de l'Inde pour découvrir la recette du "rahat loukoum à la pistache", il arrive trente trois ans plus tard à Jérusalem et découvre l'eucharistie.

   

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18 novembre 2010 4 18 /11 /novembre /2010 13:04

 

Une petite cuillère, une louche, un soupçon, c'est comme on veut !

Totale liberté ! Mais ce qui est sûr, c'est que pour moi sa saison est arrivée.

Bien évidemment, de nos jours, on peut se délecter toute l'année... de miel mais dans mon cas dès les premiers frimas, j'en ressens le besoin.

Le matin sur une tartine de pain, l'après-midi pour sucrer la tasse de thé, le soir pour arroser les lamelles de pomme qui se dorent dans la poèle et le beurre fondu... Disons que ses utilisations peuvent aller quasiment à l'infini...

 

5047653653_2bd85742be.jpg

 

Maintenant, n'oublions pas qu'il a fallu plus de sept mille heures de labeur aux butineuses pour produire à peine 500 grammes du précieux nectar et disons merci à ces infatigables travailleuses !

 

Au fait, savez-vous qu'à dose égale, le miel apporte 100 calories de moins que le sucre ? D'autre part, contrairement à ce dernier, il ne contient pratiquement pas de saccharose.

La composition du miel est très complexe : des glucides mais une majorité de fructose. Certes, il s'agit toujours de sucre, mais qui ne se comporte pas de la même manière une fois ingéré. Il élève moins la glycémie dans le sang. Une différence de taille quand on sait que des variations glycémiques répétées et excessives sont associées au risque de développer maladies cardio-vasculaires, cancers, diabète, obésité...

Et puis le miel cache encore de vrais trésors : des minéraux (potassium, calcium, magnésium), des vitamines (surtout du groupe B), des acides aminés...

 

Et le liquide couleur d'or recèle encore d'autres propriétés, notamment cicatrisantes. Depuis l'Antiquité, on l'utilise en application sur les brûlures et les plaies infectées. D'ailleurs de nos jours les scientifiques ont démontré ses vertus cicatrisantes et anti-bactériennes...

 

Bon allez, je crois que vous êtes convaincu ! Moi, je cours me préparer une tasse de thé...

 

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13 novembre 2010 6 13 /11 /novembre /2010 18:58

 

Voici la très belle histoire d'un auteur inconnu  ( à méditer !!!!!) :
 

"L’histoire des deux cailloux"5144187298_242e7cbd2c.jpg


Il y avait une fois dans un village un fermier sans le sou qui devait rembourser une importante somme d’argent à un vieil homme très laid.
Comme le fermier avait une fort jolie fille qui plaisait beaucoup au vieux prêteur, ce dernier proposa un marché :
Il dit qu’il effacerait la dette du fermier s’il pouvait marier sa fille. Le fermier et sa fille furent tous deux horrifiés par cette proposition.
Alors le vieux prêteur pas très ragoûtant suggéra que le hasard détermine l’issue de la proposition. Il leur dit qu’il mettrait un caillou blanc et un caillou noir dans un sac d’argent vide, et que la fille aurait à piocher, à l’aveuglette, un des deux cailloux du sac.

1) si elle pioche le caillou noir, elle devient son épouse et la  dette de son père est effacée
2) si elle pioche le caillou blanc, elle n’a pas à l’épouser et la dette du père est également annulée
3) si elle refuse de piocher un caillou, son père est jeté en prison

Cette discussion avait lieu sur le chemin devant la maison du  fermier, et le sol était jonché de cailloux. Tout en continuant de parler, le vieux monsieur laid se pencha pour ramasser les deux cailloux. Comme il les ramassait, la jeune fille, qui avait l’œil vif, remarqua qu’il avait ramassé deux cailloux noirs et qu’il les avait mis dans le sac. Mais elle ne dit rien. Puis le vieux prêteur demanda à la jeune fille de piocher dans le sac.
Imaginez un instant ce que vous auriez fait si vous aviez été là.
Qu’auriez-vous conseillé à la jeune fille de faire?
Si on analyse bien, il y a 3 possibilités :
1) la fille devrait refuser de piocher un caillou
2) la fille devrait sortir les deux cailloux noirs du sac, montrant que le vieux a triché
3) la fille devrait piocher le caillou noir et se sacrifier en mariant le vieux pour épargner l’emprisonnement à son père.

 

Prenez un moment pour réfléchir à cette situation. Cette histoire a pour but de vous faire apprécier la différence entre la pensée logique et la pensée dite “latérale”. Le dilemme de la jeune fille ne peut pas être résolu de façon équitable  par la pensée logique traditionnelle.
Pensez aux conséquences de chacune des trois options possibles. 
Alors, qu’auriez-vous fait ?
Et bien voici ce que la jeune fille fit :
Réfléchissez avant de regarder la solution ...

 

Elle piocha dans le sac, et en sortit un caillou qu’elle  laissa aussitôt échapper par terre, gauchement, sans qu’on ait pu le voir, et il se confondit spontanément avec la multitude des autres cailloux sur le sol.
- Ah ! ce que je peux être maladroite, s’exclama la jeune fille. Mais qu’importe : si je sors du sac le caillou qui reste, on verra bien lequel j’avais pioché en premier, n'est-ce pas !
Puisque le caillou restant était noir, le premier caillou pioché ne pouvait qu’être blanc. Et comme le vieux prêteur n’osa pas avouer sa malhonnêteté, la jeune fille transforma une situation qui semblait impossible en un dénouement fort avantageux !

 

Morale de cette histoire :
Il existe une solution pour la plupart des problèmes complexes. C’est juste qu’on ne sait pas toujours regarder les choses sous le bon angle.

 

 

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3 novembre 2010 3 03 /11 /novembre /2010 19:57

   

Déluge dimanche (voir hier), déluge lundi, il fallait pourtant aller déposer des fleurs au cimetière... ce fut pour aujourd'hui.

Il se trouve qu'un des tombeaux familiaux se trouve en face de la tombe de Rellys. Je parie que ce nom ne vous dit rien ! Moi-même, enfant, j'avoue qu'il ne me parlait guère plus !

Sauf que ma mère, quand elle pouvait encore nous accompagner pour le pélerinage annuel, nous racontait tous les ans la même histoire... Du vivant de l'artiste, il lui arrivait souvent de le croiser sur l'avenue du Prado car il avait vécu ses dernières années rue Borde, en face de chez elle. Et voilà qu'elle le retrouvait comme voisin au cimetière... 

Marseille-031.jpg

 

Rellys, de son vrai nom Henri Marius Roger Bourelly, était un acteur français né le 15 décembre 1905 à Marseille et mort le 20 juillet 1991 dans notre bonne vieille ville.

D'abord pâtissier, gagnant le sobriquet de « Brioche », il devint acteur de théâtre amateur, puis remporta en 1925 un concours de chant au célèbre Alcazar (devenu aujourd'hui La bibliothèque de la cité).

Après son service militaire, il fut engagé, sous le nom de Rellys, pour des tournées de music-hall dans le Midi et en Afrique du nord. Mais c'est en 1933, qu'Alibert, chanteur marseillais déjà célèbre, l'engagea dans la troupe de sa pièce Au pays du soleil, contribuant au lancement de sa carrière.

 

En 1935, Marcel Pagnol, dans son film Merlusse, consacra son talent de comédien. Pourtant, ensuite, Rellys se spécialisa dans les comédies marseillaises, véritables succés de cette époque.

Sa carrière exceptionnellement longue se poursuivit après guerre avec des films comme Amédée, de Gilles Grangier (1950), La vie est un jeu, de Raymond Leboursier (1951), Arènes joyeuses de Maurice de Canonge...

Rellys fit également de la télévision, comme par exemple dans la série télévisée Les Cinq Dernières Minutes. 

Rellys mourut à l'hôpital Sainte-Marguerite, à l'âge de 86 ans.  

   

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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 07:08

 

« Les Nouvelles Galeries de Marseille, c’était magnifique ! » m’a souvent dit ma mère qui avait vingt deux ans à l’époque.

Ce jour-là, le 28 octobre 1938, en tout début d’après-midi, elle n’était pas très loin de la Canebière quand une épaisse fumée noire avait commencé à s'échapper du magasin. « Peut-être que si le mistral n’avait pas soufflé si fort… »

Le grand magasin avait été inauguré en 1902,  il était situé au milieu de la célèbre Canebière et couvrait une surface de 3 500 m2. Face à lui, l'hôtel Noailles, le Grand Hôtel, l'hôtel Astoria où les personnalités politiques, les vedettes du spectacle, les riches armateurs, négociants et commerçants et tout le gotha de passage à Marseille avaient l’habitude de résider.

En ce mois d’octobre-là, le prestigieux magasin marseillais était en travaux en prévision des fêtes de fin d'année mais continuait néanmoins à être ouvert. Il faut dire que la conjoncture économique n'était guère brillante et que sous ses airs clinquants, les Nouvelles Galeries éprouvaient de sérieuses difficultés financières. A l’intérieur du grand magasin, évidemment se trouvait surtout des clientes quand l’incendie s’était déclaré.

Or le magasin était constitué de parquets cirés, tentures, tapis épais, bois, tissus... et son armature de type Eiffel était métallique. Des conditions idéales pour alimenter un foyer et sous l'effet de la chaleur, provoquer l'effondrement de l'immeuble car le feu allait prendre avec une incroyable rapidité.

 

279948614_7f4c20b52e.jpg

 

Coïncidence, ce 28 octobre, le 35econgrès du Parti républicain radical et radical socialiste se tenait au Parc Chanot, de l’autre côté de la ville. Ce qui signifiait que les forces de police, mobilisées pour l’occasion, s’y étaient déployées. Des badeaux s'étant agglutinés très vite à proximité de l'immeuble en feu, les sapeurs pompiers avaient donc beaucoup de difficulté pour se frayer un chemin.

Pour comble de malchance, constatant une importante baisse de pression sur le réseau d'eau qui alimentait les établissements, un employé d'une société des eaux supposa une fuite sur une canalisation et coupa l'alimentation, privant d'eau les sapeurs pompiers !

Lourd bilan : 74 morts dont 54 femmes et parmi elles, un grand nombre d'employées des Nouvelles Galeries.

Ce feu des Nouvelles Galeries a été le plus terrible incendie qui jusqu'à présent a endeuillé la cité phocéenne.

 

À Marseille, le climat politique délétère de l'époque, la puissance du crime organisé et les difficultés économiques des Nouvelles Galeries avaient jeté le doute sur le rapport des experts, mais en définitive c’est la thèse de l'accident par imprudence qui l’avait emporté.

Les hypothèses d'un crime politique, d'un racket, voire même d'une escroquerie à l'assurance avaient pourtant été évoquées. L’enquête conclura cependant que c’est un mégot se consumant sur un paravent goudronné qui avait été à l'origine du sinistre.

 

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22 septembre 2010 3 22 /09 /septembre /2010 11:10

 

Juste à la sortie d'Arles, en direction de St. Martin de Crau, on tombe sur un panneau : le pont Van Gogh. Le nom m'interpelle, j'ai vu des reproductions des tableaux que l'artiste a peint de ce pont. 

  

Provence-054.jpg

 

L'endroit est paisible, en bordure d'une petite route départementale. Pourtant, je sais bien que ce n'est pas "le vrai".

Ce pont, dénommé pont-levis à flèches, est un de la série des onze ponts identiques qui étaient situés le long du canal d'Arles à Bouc (canal inauguré en 1837), sur la commune d'Arles, dans notre département des Bouches-du-Rhône.

Les onze ponts, construits par un ingénieur hollandais dans les années 1820-1830, rappelaient à Vincent Van Gogh sa patrie. Enfin, c'est ce qu'il rapporte dans une lettre.

 

A l'époque, on l'appelait pont de Langlois d'après l'homme qui le gardait et manipulait les commandes d'abaissement ou de levée du pont, mais Van Gogh comprenant mal, l'avait nommé : pont de l'Anglais ! C'est pour cette raison que ce nom, changé en pont de l'Anglois, persiste toujours à partir du nom correct.

Le pont dit « pont Van-Gogh » n’est pas celui peint par l’artiste, il n'est pas à son emplacement initial.

Le "vrai" pont fut remplacé en 1930 par un pont en forme d'arc en béton armé de 45 mètres, le pont de Réginelle.

 

De toutes manières, en 1944, tous les ponts du canal furent détruits par les troupes allemandes. Tous, sauf celui de Fos-sur-Mer (une chance) qui fut démonté en 1959 et installé à Arles en 1962 sur le même canal mais à quelques kilomètres en aval, dans un paysage qui ressemble à ceux que van Gogh aimait tant.

Le pont fut complètement restauré en 1997 et vraiment c'est un ravissement que de pouvoir l'admirer aujourd'hui.

Provence-052.jpg

 

 

On connait de Van Gogh dix œuvres sur ce sujet, lesquelles furent toutes créées entre mi-mars et mi-mai 1888.

  

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 12:07

 

Provence-032.jpgAlors bien sûr, j'ai gardé le meilleur pour la fin de cette visite ! Je rejoins en cela l'organisation de l'exposition qui a également placé en fin de parcours tous les objets trouvés dans les fouilles aquatiques du Rhône.

Le meilleur, si je puis dire, est donc ce buste en marbre de Jules César, notre grand Jules à tous puisque le général romain né à Rome le 12 ou le 13 juillet en 100 avant J.C. a été, ne n'oublions pas, Proconsul en Gaule (chez nous quoi !)

Caïus Julius Caesar qui s'était tout de même fait nommé Dictateur à vie... est mort, comme chacun sait, victime d'une conspiration le 15 mars en 44 avant J.C.

Mais connait-on cette anecdote ? Averti qu'un complot dont son fils adoptif avait pris l'initiative se tramait contre lui, il rétorqua : "il attendra bien la fin de cette carcasse !"

Et bien non, Brutus n'attendit pas !

 

Provence-031.jpg

 

Découvert en 2007, cette représentation de Jules César est le seul portrait avec celui du musée de Turin considéré comme réalisé de son vivant.

Franchement, ce Jules m'a positivement fasciné !

 

 

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20 septembre 2010 1 20 /09 /septembre /2010 12:53

 

Nous les femmes sommes toujours à valser entre parures et maisonnée !

Aussi après avoir flashé sur les colliers Visite au musée de l'Arles antique - 3 je suis tombée en arrêt devant une superbe casserole !

Provence-035.jpgCasserole exceptionnelle, me dois-je d'ajouter, par son décor raffiné. D'ailleurs stipule le panneau correspondant à l'objet : il n'existe pas d'exemplaire similaire !

 

Ce musée recèle réellement des trésors.

Les objets de la vie quotidienne remplissent plusieurs vitrines, j'avoue un net penchant pour les formes arrondiesProvence 008 des poteries.

Mais il faudrait encore parler des innombrables bouteilles, gobelets, flacons en verre et aussi des vases, coupes, bols vernis et décorés en argent, en bronze, en argile...

A en avoir le tournis !

    

Et puis, et puis il y a La Mosaïque. Un ensemble provenant en grande majorité du quartier de Trinquetaille, sur la rive droite du Rhône où se dressaient plusieurs riches villas romaines. Une passerelle permet de les observer avec une vue plongeante... de quoi plonger direct dans cette Arles antique. Je vous laisse en admirer certaines que je trouve absolument superbes.

  Provence-018.jpg Provence 016

Provence 020

Provence-019.jpg

Provence-015.jpg

 

Et la suite à demain si vous le voulez bien...

 

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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 17:30

 

Provence-011.jpg

 

Ben... moi, je me verrais bien avec ces colliers autour du cou ! Qu'en pensez-vous ? Toujours actuels non ?

Alors le plus plus grand est en perles de silice frittée à glaçure bleue. En plus quelle charmante dénomination : silice frittée ! Mumm... les mots grésillent.

Et glaçure bleue  ? Je pense à un sorbet givré...

 

Le plus petit est formée de perles ovoïdes godronnées en albâtre à glaçure bleue (toujours du sorbet givré)... mais perles godronnées... encore un mot qui sonne joliment.

 

Alors ce sera tout pour aujourd'hui, la suite de la visite pour demain... si ça vous dit, si ça vous dit évidemment...

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