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25 octobre 2009 7 25 /10 /octobre /2009 07:18

 

 

 

Chaleur.

C’est le premier mot que me vient à l’esprit.

Chaleur humaine.

 

Bonheur.

Prend sa place à côté du précédent.

Bonheur partagé.

 

Apprendre encore toujours encore un peu plus

Dans son cheminement en écritures

Dans une analyse réflexive

 

Chance.

Véritable chance, privilège

Que de pouvoir vivre ça : se retrouver

Hier samedi en Fili.

 

Un privilège qui n’est réservé à personne en particulier,

Suffit juste de faire la démarche

D’y aller !

Dans mon cas vu que j’habite juste à côté :

Marseille – Aubagne, c’est pas le bagne, pas très compliqué.

Sauf à savoir que certains viennent de Nîmes, de Pô, de Toulon

Où l’on fabrique des bouchons !

 

Ecritures et réflexions.

Chez Fili, on cogite…

En ce moment restructuration, le projet est d’ouvrir des chantiers sur le site de la revue :

- J’aime, j’aime pas et comment en sortir

- Lisible, illisible

- Abouti, non abouti,

- Ecrire pour le net ou pour le papier est-ce la même chose ?

 

Mais ne pas oublier la prochaine thématique du prochain numéro de la revue :

Les tapis de la mémoire…

Vous êtes tentés par le sujet ?

Et bien partez maintenant !

A vos plumes, votre souris bien-aimée

Ecrivez entrez dans la danse

Voyez comme on danse… envoyez vos textes...

 

Ce n’est pas la première fois que je vous parle de Filigranes,

Ce n’est probablement pas la dernière non plus, du moins je l’espère.

Le lien est là, dans la colonne de droite, mais je vous redonne tout de même l’adresse :

www.ecriture-partagee.com

 

Ou pourquoi ne pas vous abonner à la revue ? 


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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 06:45

 

Rien ! Le néant ! Le vide ab-so-lu !

Dans       ma                              tête. 
J'émets une supposition...
Peut-être trop de travail sur un récit en cours... et donc
Plus la moindre parcelle de place pour un article même minuscule…

Un article... drôle !
A écrire pour le blog.
Drôle ?
Oui, à cause de cette remarque que je viens de relire,
Auguste Renoir disant à ses enfants que l’art :

« doit être amusant et compréhensible » ?

Dans l’Art  évidemment je place l’écriture.


En attendant,

Aucun mot drolatique, aucune phrase rythmique ! 

O.K. Accepter !

Hé ! Je reviens de l’ashram, si je n’accepte pas ce qui vient

Même si c’est rien, le séjour n’aura servi à rien !

Et à ce sujet de Rien.

Ben, rien toujours rien ne vient.

Aucune idée.

Mais alors aucune idée, aucune pensée !

Aucune pensée ?

Pour le coup, voilà une chose magnifique. Inespérée.

Parce que, depuis le temps, que je cherche…

A entrer dans l’état parfait d’une parfaite méditation sans préoccupation

Sans grand succès je dois l’avouer jusqu'à ce jour,

Suffit que je doive écrire un article à mettre sur ce fichu blog,

Et qu'aucun projet ne se présente pour que mon esprit

Enfin, tombe dans un état sans la moindre pensée.

Inespéré.
Vrai de vrai.

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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 18:05


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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 08:28

 

D’aucuns m’ayant demandé ce que c’était que cette histoire de "pays où les ânes volent" suite à  l’article d’il y a quelques jours Ciao cher jardinier, ciao ! , il ne me reste plus qu'à essayer de vous conter la légende.

 

Il était une fois au début du XVIII ème siècle : Gonfaron un petit village de Provence, se préparant à fêter dans la joie son Saint Patron : Saint Quinis.
En ces temps là, toute fête religieuse comportait une procession. Celle-ci suivait un parcours précis dans les rues du bourg avant d’aboutir à la chapelle St Quinis. Les autorités avaient donc ordonné aux habitants de nettoyer le seuil des maisons bordant l’itinéraire du cortège.
Il se trouve qu’un Gonfaronnais renfrogné refusa tout net de balayer, laver, briquer devant sa porte.

La mémoire du village ayant retenu cette phrase historique : " Si Saint Quinis trouve le passage trop sale, il n'aura qu'à sauter par-dessus" ; certains ajoutent volontiers que le villageois revêche y alla également  d’autres interjections moins agréables à l’oreille…

La municipalité entreprit donc d’obtenir la propreté nécessaire par d’autres moyens. Et  la procession se déroula comme de coutume dans la gaieté et la ferveur.

 

A quelques temps de là, l’acariâtre  revenait de la campagne sur son âne et  descendait les pentes de la Carnaraute, appellation de la montagne dominant le nord de Gonfaron, quand sa monture, probablement agacée par des taons, se mit subitement à cavaler. Soudain,  elle quitta le chemin et  bondit en une sorte de vol plané au dessus d’un ravin, tandis que son propriétaire se retrouvait les quatre fers en l’air.
Bientôt connue de tous, sa mésaventure mit en joie le pays, chacun, chacune y allant de ce couplet :


"C'est bien fait, Saint Quinis l'a puni, son âne a volé"


Voici comment est née la légende du « pays où les ânes volent »

________________

Référence : : "Histoire Générale de la commune de Gonfaron des origines au XXème siècle" Louis BAUDOIN.


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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 07:49


Comme un dessin inachevé, voici ma vie aujourd’hui.

Enlevons le pronom possessif « ma »

Reste la vie.

Reste aujourd’hui.

 

S’il y a aujourd’hui, c’est qu’il y a eu hier.

Hier c’est se retourner en arrière

Attention !

A se retourner en arrière, telle la femme de Lot, on risque de se transformer en statue de sel.

Pauvre compagne d’infortune ne pouvant se résoudre à quitter, à laisser derrière elle…

Toujours toujours l’envie de se retourner…

Alors que le bonheur est dans l’instant ici et maintenant.

 

Et demain ?

Certainement ce sera mieux demain !

Si je regarde vers demain, je me transforme en quoi ?

En statue de rien, des quatre vents, est ouest dehors dedans.

Demain n’existe pas.

Alors revenir ici.

Vraiment être dans Ce moment

Réellement.

Prendre le temps

D’être.

 

Encore que…

Est-ce que je sais qui je suis ?

 

Je crois que la chose commence à se préciser…

Puis par exemple :


« je sais désormais que la poésie n’est pas une arme, c’est une essence, la résidence de l’homme sans terre. »

(Mahmoud Darwich)

 

  

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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 09:42

Chou hibou caillou pou.
Cailloux.
Petits cailloux sur la chaussée
Juste posés
Par le Petit Poucet qui passait ?
Petits cailloux juste posés
Pourquoi là ?
Que faites-vous sur la chaussée noire et lissée ?
Et ces taches juste à côté ?
Rouge foncé carminé
Pourquoi là ?
Que faites-vous sur la chaussée noire et lissée ?
Chaussée  tachée de rouge rubis rubigineux
Taches éclatées sur le bitume d'où venez-vous ?
Dites-moi tout.
Peut-être Petit Poucet en plus des cailloux avait...
Peut-être un pot de peinture à la main...
Un peu de couleur s'est échappée...
Qui sait ?

Chou hibou caillou pou.
Cailloux.
Petits cailloux sur la chaussée
Juste posés.
C'est le Petit Poucet qui passait !
Petits cailloux juste posés...
Afin de retrouver son chemin pardi
Sur la chaussée noire et lissée qui s'ennuyait.
Ces taches juste à côté...
Rouge rubis rutilant
Sur la chaussée noire et lissée
Chaussée  tachée de rouge frais
C'est Petit Chaperon Rouge qui l'accompagnait pardi !
Un pot de Teinture à la main...
Pour reteindre son paletot qui en avait bien besoin
Un peu de couleur s'est échappée...

C'est une histoire pas compliquée.


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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 17:31


Saint-Victoret : village situé tout à côté de l'aéroport de Marignane.
Saint-Victoret : sa mairie néo-provençale, son centre désertique le dimanche et son salon du livre ce dimanche 18 octobre.
Fréquentable, mais pas très fréquenté le salon.
Mais enfin l'occasion de retrouver l'amie Geneviève Bertrand dont un texte figure dans ce blog dans la catégorie "textes pour Fili" ; et puis le hasard étant au rendez-vous : une rencontre avec Xavier Lainé qui écrit également dans Filigranes mais que je ne connaissais que de nom. Autre rencontre imprévue avec Brigitte Lascombe, hello Brigitte, hébergée par Over-blog.


Et voici donc  Xavier et Geneviève en pleine action !

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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 12:21


Ce matin j'ai pris la voiture pour aller acheter des moules pour l'aïoli de midi. En revenant, place Joseph Etienne, il y a un virage serré emprunté par les bus qui redescendent de La Bonne Mère.
Comme des voitures sont toujours mal garées à l'angle de la rue, le bus a souvent des problèmes pour tourner. Moi, j'arrivais en sens inverse, le feu était au vert, j'aurais pu passer mais j'avais vu de loin le bus coincé, alors au lieu d'avancer, je l'ai laissé effectuer son virage tranquillement  puis j'ai repris mon chemin.
A ce moment là un jeune en Vespa a doublé le bus, franchi la ligne médiane et est venu droit sur moi !
Je n'ai pas pu m'empêcher de l'engueuler à travers la vitre et de frapper mon index sur mon front en le regardant.
Obligé de presque s'arrêter pour ne pas me rentrer dedans il m'a jeté un regard noir !
Voilà bien un exemple frappant de la mentalité d'aujourd'hui ! Je ne crois être une vieille chnock ! Simplement j'ai fait le choix d'un geste de compréhension envers un véhicule collectif, ce jeune a fait le choix de l'individualité :"moi je passe et je vous emmerde !"

Autrement, ma foi l'aïolli était bon.
Je ne vous donne pas la recette, je pense que tout le monde la connaît.
Si, une précision tout de même. Le VRAI aïoli se monte simplement avec de l'aïl écrasé, du sel, un ou deux jaunes d'oeufs selon la quantité désirée et de l'huile d'olive (à la rigueur coupée avec de l'huile de tournesol pour un aïoli moins fort). Dans tous les cas, surtout pas de moutarde ni de vinaigre, encore moins d'eau chaude comme je l'ai parfois entendu dire !

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15 octobre 2009 4 15 /10 /octobre /2009 17:27
La-chemin-e-001.jpg
 


Le mistral a sifflé la fin de la récré... l'été s'en est allé...
Comme tous les ans, d'un coup, d'un seul,
On - se - gèle ! On se pèle !

Mon corps se laisse toujours surprendre
Par les premiers frimas
L'esprit suit aux abois : "j'ai froid j'ai froid."

Mais ce n'est peut-être pas votre cas...
Peut-être que vous, ça va ?
Peut-être vous aimez la froidure ?

Moi... pas !
En tout cas, pas comme ça,
Qui s'invite aussi vite.

La chaudière pas encore allumée
Le nez qui commence à couler
Petite-fille enrhumée à garder...

Alors L'Homme  s'est décidé 
A faire une flambée dans la cheminée
Mummmmmm...

En définitive rien de tel qu'un bon feu de bois
Pour se réconcilier avec le froid !


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15 octobre 2009 4 15 /10 /octobre /2009 05:19


Il pourrait… tout de même, il pourrait…

Franchement, entre nous, il devrait…

Oui parce qu’il faut… il faut absolument…

 

Il faut sonne faux, non ?

Il pourrait, il devrait, il faudrait…

Non !

Laisser tomber les formules au conditionnel.

Laisser tomber.

 

Il faudrait qu’il fasse beau aujourd’hui.

Mais il pleut !

Il faudrait que mon homme se bouge un peu plus !

Mais pour le moment il ne peut pas…

Et puis vraiment tout le monde devrait me trouver aimable…

Sauf qu’apparemment il y a des gens qui n’ont aucune envie de m’aimer !

 

« Ce qui devrait être est un mythe » (Swamiji)

 

Je me le suis répété des centaines de fois…

Depuis quelques jours dès que la pensée :
"Grrrrrrrrrrrrrrrrr il faudrait...."
Poubelle ! Je mets à la poubelle !!!
Enfin, j'essaie...

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